A Rangoun, ville anxieuse et frénétique où « tout a l’air normal, mais où tout est anormal »

Comme l’a constaté le reporter du « Monde », qui a pu s’y rendre malgré la guerre, la plus grande ville de Birmanie, tenue par la junte depuis le coup d’Etat de février 2021, n’a rien perdu de son effervescence. Un vernis festif qui ne cache toutefois pas le pessimisme de beaucoup d’habitants quant à un retour de la démocratie.

Fév 1, 2025 - 11:00
A Rangoun, ville anxieuse et frénétique où « tout a l’air normal, mais où tout est anormal »
Comme l’a constaté le reporter du « Monde », qui a pu s’y rendre malgré la guerre, la plus grande ville de Birmanie, tenue par la junte depuis le coup d’Etat de février 2021, n’a rien perdu de son effervescence. Un vernis festif qui ne cache toutefois pas le pessimisme de beaucoup d’habitants quant à un retour de la démocratie.

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