« Les féministes qui jugent “trop légères” les peines sont-elles plus enclines à la répression que leurs prédécesseures ? »
L’ancienne journaliste et militante au Mouvement de libération des femmes, Martine Storti, revient sur les années de luttes menées par les féministes quant à la difficile question de la peine à réclamer pour les violeurs, dans une tribune au « Monde ».
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