« Il est impossible d’ignorer les similitudes entre les contextes politiques sud-coréens et français »
La tentative de coup d’Etat en Corée du Sud, permise par l’inscription de la loi martiale dans la Constitution, a pu être défaite parce que le texte permettant une dictature temporaire donne néanmoins à l’Assemblée les moyens de s’y opposer. C’est davantage de garde-fous que notre article 16, qui permet au président de déclarer l’état d’exception sans qu’aucune autorité puisse s’y opposer, explique la constitutionnaliste Eugénie Mérieau dans une tribune au « Monde ».
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